The Jazz Standard Project #39 : Lush Life (1949)
C’est le moment propice où plus rien ne rattache Où l’eau prend possession de la gorge desséchée Où l’on ferme les yeux. ( John Coltrane - Poème de Stéphane Bataillon )
Illustrations Jazzistiques
C’est le moment propice où plus rien ne rattache Où l’eau prend possession de la gorge desséchée Où l’on ferme les yeux. ( John Coltrane - Poème de Stéphane Bataillon )
Quand tu devineras l'attente d'autres paroles Reliras-tu ces notes en continuant de croire que j'inventais pour toi ? ( Coleman Hawkins - Poème de Stéphane Bataillon )
Ca parle et ça s'anime On ne sait pas très bien si c'est pour nous On serait résolu à déguerpir Si le secret des femmes ne nous rendait curieux. ( Lee Morgan - Poème de Stéphane Bataillon )
Un jour de foule et de fanfare On se laisse porter En dégustant les ombres qui osent se détacher. ( Sonny Rollins - Poème de Stéphane Bataillon )
Savourer notre verre jusqu'a la dernière goutte Attendre que le murmure ait déserté la ville La chaleur, aujourd'ui a décollé le temps. ( Ahmad Jamal - Poème de Stéphane Bataillon )
J'ai toujours pas compris comment c'est arrivé Ça vous a bien fait rire, hein ? Rassurez-vous. Vous ne perdez rien pour attendre Je reviendrai au firmament Je me faufilerai. ( Benny Golson - Poème de Stéphane Bataillon )
Nous étions si pressés d'anéantir nos peurs Que nous nous sommes perdus pour la première fois Et il aura fallu attendre de longues heures Pour que j'écrive sur toi. ( Count Basie and Sarah Vaughan - Poème de Stéphane Bataillon )
Suivre les lignes des toits les courbures du fer Amalgamer les sons jusqu'à s'évaporer Que l'emprise n'ait plus cours. ( Thad Jones - Poème de Stéphane Bataillon )
On y croyait tellement à cette histoire de roi du monde Et on est toujours là. On bavarde. ( Stan Getz - Poème de Stéphane Bataillon )